Nous avons les yeux rivés sur vous : Ring, le vendeur de portier vidéo et de systèmes de sécurité propulsé par l’IoT, et appartenant à Amazon, s’est associé à 400 départements de police des États-Unis pour leur fournir des enregistrements vidéo, indique le Washington Post. Les défenseurs de la vie privée ont fait part de leurs inquiétudes, affirmant que les partenariats pourraient exposer des innocents, y compris ceux que les utilisateurs de Ring ont identifiés comme « suspects », à une surveillance accrue.
Nous écoutons aussi : pendant ce temps, Apple s’excuse pour le comportement de certains de ses sous-traitants, accusés d’écouter les enregistrements d’interactions entre les clients et l’assistant numérique de Siri, rapporte Fox Business News. Au départ, Apple utilisait ces enregistrements pour contrôler la qualité, mais cette pratique n’a pas été jugée conforme à ses « idéaux élevés », a déclaré l’entreprise.
Du côté des applications : Google a retiré une application de numérisation de fichiers populaire appelée CamScanner de Google Play store, après qu’il a été signalé qu’elle contiendrait un programme malveillant, indique CNN. Les chercheurs de Kaspersky ont constaté que plusieurs critiques négatives avaient été laissées sous le profil de l’application. Elles portaient sur des plaintes signalant la présence de « fonctionnalités indésirables ». Le logiciel malveillant pouvait imposer des « publicités intrusives » aux utilisateurs.
Nid d’espions sur Internet : la Chine et d’autres nations utilisent le site de mise en réseau populaire LinkedIn pour recruter des espions dans les pays occidentaux, rapporte le New York Times. Un ancien responsable de la politique étrangère dans l’administration américaine sous Obama, a reçu des messages sur LinkedIn l’invitant en Chine où lui serait proposées des opportunités « bien rémunérées ».
Vers de bien meilleures fausses nouvelles : OpenAI, le laboratoire de recherche sur l’intelligence artificielle cofondé par Elon Musk, a récemment créé un programme de rédaction d’actualités que le laboratoire a refusé de mettre sur le marché en raison de sa capacité à rédiger de fausses nouvelles. Par contre, deux étudiants en cycle de master auraient répliqué le programme, affirmant qu’il n’était pas nécessaire d’être « un laboratoire de pointe doté de moyens colossaux et d’un doctorat » pour créer ce type de logiciel, rapporte Wired.com.
L’IoT au service de l’hygiène du chat : un programmeur a connecté la litière de son chat à l’IoT, pour savoir quand elle a besoin d’être vidée, explique Hackaday. Les capteurs insérés dans la litière sont alimentés par une carte de développement ESP-32, reliée à la plateforme d’analyse ITS de Thingspeak. « Cela facilite la représentation graphique et l’analyse des données collectées à partir du système. »
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