Petit coup de pouce : Le gouvernement américain accorde une subvention de 50 dollars par mois pour le haut débit aux personnes qui ont été touchées financièrement par la pandémie de COVID-19, rapporte CNet. Ces subventions font partie du plan d’aide COVID-19 adopté par le Congrès en décembre. Plus de 825 fournisseurs de haut débit, dont AT&T, Comcast et Verizon, y participent.
Armée virtuelle : Une armée de bots malveillants impose le discours officiel du Parti communiste chinois sur les réseaux sociaux, rapporte l’Associated Press sur le site Web du Star Tribune. « L’ascension de la Chine sur Twitter a été alimentée par une armée de faux comptes qui ont retweeté des diplomates chinois et des médias d’État des dizaines de milliers de fois, amplifiant secrètement la propagande destinée à atteindre des centaines de millions de personnes, sans révéler le fait que généralement le contenu est parrainé par le gouvernement. »
L’heure est venue de passer à la caisse : Le Colonial Pipeline, l’un des plus grands oléoducs des États-Unis, a payé une rançon de près de 5 millions de dollars en crypto-monnaies à des pirates informatiques d’Europe de l’Est qui ont fermé l’oléoduc au moyen d’un logiciel malveillant au début du mois, rapporte Bloomberg. La mise à l’arrêt de l’oléoduc a provoqué des pénuries d’essence dans plusieurs États du sud-est des États-Unis.
À vos marques, prêts, lancez : SpaceX, la société d’Elon Musk, a déposé une demande pour proposer son service de haut débit par satellite Starlink au Nigeria, selon Vanguard News. La société est en pourparlers avec la Nigerian Communications Commission pour y opérer. SpaceX considère le Nigeria comme « un marché essentiel en Afrique », selon l’article.
Hé, vous : Le service de messagerie WhatsApp va commencer à envoyer des rappels « continuels » aux utilisateurs qui n’ont pas accepté leurs nouvelles conditions générales à partir du 15 mai, rapporte la BBC. Certains utilisateurs se sont inquiétés du fait que WhatsApp partage leurs informations avec la société mère Facebook, mais les utilisateurs qui n’acceptent pas les nouvelles conditions commenceront à perdre certaines fonctionnalités. À un moment donné, ces utilisateurs ne seront plus en mesure de recevoir des appels et des messages vidéo.
Non, c’est non : Le gouvernement chinois a retiré 90 applications des magasins d’applications pour une prétendue « collecte abusive d’informations personnelles », écrit le South China Morning Post. Parmi les applications concernées figurent la plateforme de réservation de billets en ligne Damai, l’application de réservation de voyages en ligne Tuniu et le plus grand rival chinois de LinkedIn, Maimai. Les utilisateurs qui avaient déjà installé ces applications peuvent toutefois continuer à les utiliser.