L’informatique au service de la population : Le chapitre de San Francisco a publié un article rédigé par un développeur utilisant des logiciels à source ouverte et du matériel à normes ouvertes pour enseigner les compétences informatiques aux étudiants des zones rurales du Nigeria. Chioma Ezedi Chukwu, fondateur du programme de mentorat STEMTeers, écrit que l’open source représente plus que des outils, des logiciels ou du matériel gratuits. « Ce programme a été une grande opportunité de se former, d’apprendre en développant et de créer grâce à l’innovation. »
La programmation pour les enfants : pendant ce temps, le chapitre des îles du Pacifique met en avant un événement de hackathon pour les enfants dans un centre éducatif à Port Moresby, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L’objectif de cet événement, axé sur la réflexion conceptuelle, était de doter les élèves de compétences durables à l’ère du numérique.
Soutenir l’apprentissage en ligne : Le chapitre ougandais s’est donné pour mission d’aider les enseignants et les élèves à améliorer leurs compétences numériques, alors que le pays se lance dans l’apprentissage en ligne suite à la pandémie de COVID-19. « Les pédagogues doivent adapter leurs méthodes d’enseignement pour faire face aux nouveaux changements », selon un article. « Ils doivent être capables de provoquer des changements ou de toucher les étudiants au-delà des méthodes traditionnelles, la craie et le tableau noir. Les étudiants, eux, doivent suivre un processus d’adaptation pour passer à l’éducation numérique ».
Suivre le virus : Le chapitre dominicain a offert son soutien au gouvernement pour le déploiement d’une application de suivi du COVID-19. Le chapitre a également proposé « d’analyser et de valider la conformité de cette application avec les meilleures pratiques internationales en matière de vie privée et de protection des données personnelles, nos lois, et les principes de l’Internet de la République dominicaine ».
La communauté au Royaume-Uni : le chapitre britannique vient de publier une brève histoire du haut débit communautaire dans le pays, qu’il caractérise comme une lutte de David contre Goliath. Toutefois, les réseaux communautaires ont encore leur place. Les perspectives du haut débit communautaire sont « potentiellement bien meilleures à l’avenir s’il peut combiner les atouts fondamentaux d’un bon service clientèle local avec la « lourde tâche » de proposer des services de communication… qui sont de plus en plus assurés par des plateformes en ligne… ».
Lutter contre les infox : Les Pays-Bas et plusieurs autres chapitres se sont associés à Make Media Great Again, une organisation qui se concentre sur la correction de la désinformation sur les sites d’information. Un nouveau groupe de travail collabore avec les médias et les scientifiques pour identifier la désinformation dans les actualités
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