Un procès de grande envergure :L’ancien président américain Donald Trump a intenté une action en justice contre Facebook, Twitter et YouTube après avoir été exclu de ces réseaux sociaux pour avoir violé leurs conditions d’utilisation, rapporte le Washington Post. La plupart des experts juridiques estiment que l’action en justice a peu de chances d’aboutir ; le premier amendement des États-Unis protège les personnes comme Trump contre la censure gouvernementale, mais il n’oblige pas les entreprises privées à magnifier le discours d’un individu. Néanmoins, cette action en justice soulève des questions sur le pouvoir des géants des réseaux sociaux, écrit Fred Hiatt, rédacteur en chef de la page éditoriale du Post.
Vulnérabilité zero-day : Pendant ce temps, un site de réseau social pro-Trump appelé Gettr, une alternative à Twitter, a été piraté le premier jour de son lancement avec des messages pro-palestiniens, rapporte CNet. Les comptes de plusieurs assistants et partisans de Trump ont été brièvement compromis affichant un message « Libérez la Palestine ».
Antitrust Android : Trente-six États américains ont poursuivi Google pour des violations antitrust présumées liées à son Android Play Store, rapporte CBS News. Google fait actuellement l’objet de trois autres procès antitrust fédéraux, mais ce procès est le premier à contester la nouvelle politique de Google consistant à faire payer aux développeurs d’applications une commission de 30 % sur les ventes réalisées par l’intermédiaire du Play Store.
Super rapide et local : TechDirt a commenté une enquête de PC Magazine sur le haut débit le plus rapide disponible aux États-Unis, soulignant qu’une partie des 10 FAI les plus rapides sont des services de haut débit communautaires. Trois du top 10 sont des services à haut débit appartenant à des villes, et le fournisseur d’accès le plus rapide, Empire Access à New York, « fait un usage intensif d’un réseau de fibre optique à accès libre sur un kilomètre intermédiaire, financé en grande partie par le public« , note TechDirt.
Le droit à la réparation : Le cofondateur d’Apple, Steve Wozniak, a apporté son soutien au mouvement croissant du « droit à la réparation », rapporte Gizmodo. Le mouvement du droit à la réparation est une réponse aux efforts de certaines entreprises électroniques visant à exiger que les réparations des appareils soient effectuées par l’entreprise elle-même ou par un service de réparation agréé. Ironiquement, Apple est l’une de ces entreprises. Les technologies open source ont pourtant joué un rôle déterminant dans les premiers succès d’Apple, affirme le Woz.